Bon, je déclare forfait pour la lecture de "La Papeterie Tsubaki". 🤷🏼♀️
Hatako, 25 ans, reprend la papeterie de sa grand-mère et du même coup, elle va prendre sa place en tant qu'écrivaine publique à Kamakura où elle vit.
Ce rôle est primordial et lui permettra de tisser des liens précieux avec sa communauté. La Papeterie Tsubaki devient un lieu de partage pour celle-ci.
L'auteure a une plume très douce et poétique qui nous transporte ailleurs.
J'aime aussi les liens qu'Hatako crée avec les diverses personnes qui gravitent autour de la Papeterie.
Par contre, ce qui mine ma lecture et m'enlève le goût de le rouvrir, c'est les interminables détails et explications sur le choix de papiers, de plume ou crayon, d'encre, types d'écriture, d'enveloppe et de timbres pour chaques lettres qui lui est commandées en tant qu'écrivaine publique 🤯
À chaque fois, ça me fait décrocher et déposer mon livre...
Je vois ce qui a de beau dans ce bouquin, mais je décide de passer au suivant, car le rythme de celui-ci est trop lent pour ce dont j'ai besoin comme évasion présentement.
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