C'est sous le soleil que j'ai terminé la lecture de "La fille qui lisait dans le métro" de Christine Féret-Fleury. On dirait que l'histoire même du roman est secondaire. 🤔 Que l'essence réel du bouquin, c'est de transmettre cette philosophie d'être des "passeurs" de livre et ça, j'adore!! 👌 (Après tout, c'est le surnom que me donne une amie auteure 🤗 hihihi) En quoi consiste un "passeur"?! C'est de distribuer des romans en observant ceux qui nous entourent et leur offrir le livre qui leur convient. Et eux, après l'avoir lu...ou pas...laisseront ce livre dans un lieu public pour qu'une autre personne le découvre et le lise à son tour. Soliman, celui qui est en charge des différents "passeurs" de cette histoire, est convaincu que notre vie peut être ébranlée, chamboulée du tout au tout par la lecture du bon roman. Qu'il faut laisser notre instinct choisir le livre à lire, ne pas s'imposer une lecture. Car il y a un moment pour chaque bouquin, s'il ne nous attire pas, c'est que le moment n'est pas venu pour celui-ci...il devra patienter dans la bibliothèque 😉 Il mettra au défi, Juliette, de devenir "passeuse" et elle découvrira qu'elle a un certain talent à cela, mais c'est bien trop demandant d'épier autant les gens...même si elle le fait depuis longtemps dans le métro. Soliman boulversera la vie de Juliette, ce qui l'amènera à revoir ses priorités. C'est davantage la philosophie qui m'a accroché que l'histoire en tant que telle, qui m'a paru incomplète et floue.
